Cap campus
Depuis plus de 20 ans, Cap campus vise à encourager la persévérance scolaire en présentant aux élèves du secondaire et étudiant(e)s du collégial, différentes perspectives d’études et de carrières. Cap campus s’adresse principalement aux élèves issu(e)s de communautés sous-représentées à l’université et agit comme partenaire de confiance des écoles, cégeps et organismes communautaires du Grand Montréal et au-delà.
De plus, il existe une initiative distincte avec les Premiers Peuples, nommé Shipua | Sipik.
Origine
En 2000, le professeur Louis Dumont a lancé le Projet SEUR (Sensibilisation aux Études Universitaires et à la Recherche) dans le but d'élargir les horizons des élèves du secondaire issu(e)s de milieux ayant un fort indice de défavorisation et de les orienter dans leur choix de carrière. En 2021, le projet SEUR a pris un nouveau virage pour devenir Cap campus. Cette même année, est né le projet Shipua | Sipik, une initiative en co-construction avec les Premiers Peuples afin de soutenir la persévérance des jeunes Autochtones.
Projet
Les activités de Cap campus visent à encourager l’exposition des plus jeunes aux différentes possibilités d’études et de carrières : par des conférences, des ateliers, des activités de réseautage, du mentorat, des visites sur le campus et dans des organisations.
Le projet Shipua | Sipik s’associe à des partenaires autochtones pour développer des projets permettant d’outiller les jeunes afin de surmonter les obstacles reliés à la poursuite d’études post-secondaires en dehors de leur communauté.
Apprentissage
Cap campus doit son succès aux étudiant(e)s engagé(e)s, qui, chaque année, participent activement au bon déroulement des activités proposées. Grâce à cet engagement, ils et elles développent de nombreuses compétences qui leur seront précieuses dans leur avenir.
“Je suis ravie de continuer à tisser des liens solides avec des établissements scolaires et davantage d'organismes communautaires. En effet, les partenariats et collaborations créés avec des intervenant(e)s varié(e)s dans les dernières années ont un réel impact à la fois sur la communauté étudiante universitaire, qui trouve dans ces nouvelles relations institutionnelles un créneau pour pouvoir s’impliquer dans la communauté, et sur les élèves du secondaire et étudiant(e)s au cégep dans la région du Grand Montréal et dans plusieurs communautés autochtones qui s’intègrent au projet Shipua | Sipik.”
Aïcha Seghiri, responsable de Cap campus
4000
Chaque année, grâce à ses diverses activités, touchant une panoplie de domaines d’études, Cap campus rallie 4000 jeunes.
150
150 personnes étudiantes impliquées contribuent à l’organisation et à l’animation des activités offertes, tout en bénéficiant d’occasions d’apprentissages expérientiels.
400
Plus de 400 activités sont réalisées chaque année par les personnes impliquées étudiantes et les professionnel(le)s.
Parties prenantes
- Aïcha Seghiri, responsable de Cap campus
- Maëlys Jourdan Westphal, coordonnatrice de Cap campus
- Éliane Santschi, Conseillère aux relations avec les Premiers Peuples
- Marie-Hélène Vaillancourt, conseillère recherche et société
- Anne-Michelle Alexis, TCTB
- Les facultés de l’Université de Montréal et une quarantaine de milieux professionnels qui accueillent des groupes d’élèves.
Portée
Cap campus peut compter sur son partenariat avec 15 écoles secondaires, 5 cégeps et 4 organismes communautaires qui participent activement aux diverses activités offertes. Ces établissements sont répartis principalement sur l’île de Montréal, allant de Verdun à Montréal-Nord et de Lachine à Hochelaga-Maisonneuve.
Le projet Shipua | Sipik tisse des liens avec 5 communautés autochtones afin de co-créer des projets à destination des élèves.