J’ai eu l’honneur, hier, d’assister à l’assermentation des ministres du nouveau gouvernement formé par le premier ministre, François Legault. Ce moment très solennel marque l’engagement de ces femmes et de ces hommes qui ont été choisis, d’abord par leurs concitoyens puis par le premier ministre, pour exercer une charge publique d’envergure.
Parmi les nouveaux visages qui forment désormais notre gouvernement, j’étais très heureux de voir Jean-François Roberge accéder au ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur. J’ai eu l’occasion d’échanger à maintes reprises avec M. Roberge au cours des derniers mois, tout particulièrement lorsque l’Assemblée nationale a étudié puis adopté à l’unanimité la nouvelle charte de l’Université de Montréal. J’ai alors pu constater à quel point M. Roberge est rigoureux, engagé et véritablement passionné par l’éducation, un thème prioritaire pour ce gouvernement nouvellement élu. Tout au long des débats, M. Roberge s’est montré à l’écoute des préoccupations de tous les membres de notre communauté.
Certains commentateurs se disent étonnés de voir l’éducation et l’enseignement supérieur de nouveau réunis dans un même ministère. Pour ma part, j’y vois une alliance toute naturelle entre ces réseaux qui forment les Québécois, des tout-petits jusqu’aux adultes et j’accueille de façon positive cette nouvelle configuration, qui annonce une vision généreuse de l’éducation.